Pourquoi les Centres d’Appels à l’Ère de l’IA vont disparaitre

La révolution de l’intelligence artificielle (IA), menée par des technologies avancées telles que ChatGPT, Gemini, claude, pose une question cruciale pour l’industrie des centres d’appels ☎️ comme Téléperformance, Webhelp ou encore Majorel  : cette innovation marque-t-elle le début de la fin pour les call centers traditionnels ? Cette interrogation est particulièrement pertinente pour des leaders du secteur comme Téléperformance, qui malgré une année record avec 8 milliards de chiffre d’affaires et 1,3 milliard de bénéfices, voit son modèle d’affaires ébranlé par l’évolution rapide de l’IA en 2024 !  Les tâches les plus susceptibles d’être automatisées par l’intelligence artificielle ne sont pas uniformément réparties dans le monde du travail. Certaines catégories semblent plus à risque que d’autres notamment dans les centres de contacts qui vont s’automatiser de plus en plus. Les investisseurs se tournent davantage vers l’IA et les Callcenters sont dans le colimateur. 

La capacité de l’IA à résoudre efficacement et à moindre coût les problèmes des clients remet en question la viabilité des centres d’appels traditionnels. Pourquoi, en effet, continuer à investir dans une main-d’œuvre humaine onéreuse quand des solutions technologiques promettent de faire le même travail pour une fraction du prix ? Cette perspective a déjà eu un impact considérable sur la valorisation boursière de Teleperformance, entraînant une chute de deux tiers en seulement 18 mois ‘Source 2024). il faut bien comprendre qu’un humain à Madagascar est aujourd’hui 4 fois plus cher qu’un assistant virtuel au téléphone ! 

Face à cette menace existentielle, Daniel Julien, le PDG de Teleperformance, adopte une position optimiste, estimant que l’IA et les callbots ne remplaceront pas les humains et les conseillers clientèles mais servira plutôt à les assister. Selon lui, les robots vocaux se chargeraient des tâches simples, laissant le soin aux agents humains de résoudre les problèmes plus complexes. Cependant, cette vision pourrait ne pas tenir compte de l’impact significatif de l’IA sur les coûts d’interaction client dans le futur, qui pourraient drastiquement baisser, affectant les marges des centres d’appels. Alors évidemment ce discours émmane directement de la direction mais La vision de TALKR est bien plus pessimiste et pour cause. Nous avons déjà discuté par le passé avec TP en 2017 en mettant en garde avec l’arrivée des chatbots mais les équipes internes on simplement fermé les yeux fasse à la futur déferlante qui allait s’abbatre sur ce type de société. De notre coté, l’évolution constante et les progrès plus que significatifs depuis les dernières années, pousse les technologies No-code à promouvoir des assistants virtuels doués de capacité de raisonnement de plus en plus poussés voir bien plus poussés que les humains si on en croit Sam Altman et la version de GPT-5 qui sera commercialisée en cours d’année 2024. L’arrivée de voix de synthèses de plus en plus performantes en temps quasi réel permet aussi de pouvoir plugger des outils no-code afin de répondre de manière appropriée dans des délais acceptable afin de traiter une conversation automatique de bout en bout, Le déploiement d’un assistant vocal ayant recours à l’intelligence artificielle est notre quotidien au sein de TALKR. L’effondrement de ce type de société nous parait inévitable si la société n’intègre pas dans les prochaines années des solutions d’IA avancées.  la place de l’humain est en effet menacée sur du moyen terme et nous assisterons à des descentes aux enfers pour les sociétés qui n’auront pas anticipé le virage. 

Dans ce contexte, le modèle économique des centres d’appels ☎️, traditionnellement basé sur une main-d’œuvre à faible coût (offshore), est mis à rude épreuve. La question se pose alors : Teleperformance et ses semblables parviendront-ils à se transformer en adoptant un modèle plus axé sur la technologie, en s’appuyant peut-être sur des partenariats avec des entreprises innovantes dans le domaine de l’IA, comme TALKR ? 

L’avenir des centres d’appels est incertain, et tout porte à croire que le secteur est à l’aube d’une transformation majeure car le progès n’attend pas !  Ce qui est certain, c’est que les prochaines années seront déterminantes et pourraient bien redéfinir la manière dont les entreprises gèrent la relation client avec des robots qui ne se mettent pas en grève et qui répondront de manière encore plus empathique dans le futur. Le message est clair : il est temps de s’adapter ou de risquer l’obsolescence dans un monde de plus en plus tourné vers l’IA.

Comment sécuriser les chatbots avec des llms pour éviter les hallucinations

Renforcement de la Sécurité des Chatbots : Une Nécessité Impérative dans l’Ère de l’IA Générative pour palier aux éventuels erreurs conversationnelles.

Dans le paysage numérique actuel, où l’intelligence artificielle (IA) générative prend de plus en plus d’ampleur avec les LLMs, la sécurité des chatbots et des callbots est devenue un sujet de préoccupation majeure pour les organisations. Les entreprises qui intègrent ces technologies dans leurs opérations doivent être particulièrement vigilantes. Nous intégrons des audits de  sécurité pour chatbots et callbots à un moment crucial pour palier aux risque de débordements et d’hallucination.

L’Importance de la Sécurité dans les Chatbots Génératifs

Les chatbots basés sur les modèles de langage de grande taille (LLM) ont transformé l’interaction entre les entreprises et leurs clients au travers des mailbots et autres chatbots. Cependant, cette avancée n’est pas sans risques. Les attaques par injection (code & contenu) et autres menaces peuvent compromettre non seulement la sécurité des données mais également l’intégrité de l’interaction utilisateur. Un chatbot mal sécurisé peut entraîner des fuites d’informations sensibles et nuire à la réputation de l’entreprise ou simplement donner une information eronnée qui ne correspond en rien à la vision de l’entreprise et aux promesses de celle-ci. Des exemples de bots ayant entrainé des effets « Streisand » sur la toile et font la risée des entreprises. le bot de DPD groupe conseille pas l’internaute comme il faut et enfonce la marque DPD, un internaute a pu acheter une Chevrolet pour 1 euro en 2024. les exemples se multiplient : Il faut imaginer que les IA de 2025  vont forcément palier à ce type d’écart. plus les intelligences artificielles seront fortes plus elles pourront protéger les humains de leur propres biais.  Nous seront dominés par les IAs pour le meilleur et pour le pire.

Un Bouclier Contre les Menaces externes

Fort de son expertise et ayant lancé une centaine de bots sur le marché, Talkr.ai propose aux  entreprises des chatbots basés sur l’IA générative. toutefois nous identifions et résolvons les vulnérabilités potentielles en garantissant ainsi une interaction sûre et sécurisée pour les utilisateurs. cela va du prompting ou d’autres mécanismes qui permettent d »éviter les écueils.

Les Bénéfices d’un Audit de Sécurité préventif

  1. Détection des Failles de Sécurité : L’audit permet d’identifier les points faibles susceptibles d’être exploités par des attaquants, offrant ainsi une première étape cruciale vers le renforcement de la sécurité.
  2. Recommandations Personnalisées : À l’issue de l’audit, les entreprises reçoivent des conseils sur mesure pour améliorer la sécurité de leurs chatbots, adaptés à leurs besoins spécifiques et à leur infrastructure.
  3. Expérience Utilisateur Fiable : En sécurisant les chatbots, les entreprises assurent une interaction sans risque pour leurs utilisateurs, renforçant ainsi la confiance et l’engagement.

L’offre d’audit de sécurité de Talkr.ai représente une opportunité unique pour les entreprises de renforcer la sécurité de leurs chatbots. En cette ère de l’IA conversationnelle, investir dans la sécurité n’est pas seulement une mesure préventive mais une stratégie essentielle pour garantir des expériences utilisateur engageantes et sécurisées. Les incidents de sécurité passés dans le domaine des chatbots soulignent l’importance de cette démarche. Ne faites pas la même erreur ; assurez-vous que vos chatbots sont bien protégés.

les 7 préjugés concernant les chatbots

Comment l’approche conversationnelle va être une révolution pour votre relation client et votre ligne de conduite : 7 préjugés à combattre.

50% ou plus de toutes vos interactions avec les clients seront gérées par des assistants conversationnels vocaux et par chat d’ici 2025.*

Les bots conversationnels sont une nouvelle interface qui offre aux entreprises la possibilité de se rapprocher de leurs clients, de connaître leurs utilisateurs avec une méthode avant-gardiste et d’améliorer la performance des services clients. Rien de nouveau, direz-vous.
Eh bien, les outils et les technologies qui permettent d’avoir une véritable conversation, et pas seulement de répondre à une liste de questions posées par le client, sont rares.
Le véritable enjeu des trois prochaines années est d’être capable d’avoir une véritable conversation avec les clients, ou en d’autres termes, d’être capable de comprendre et de prendre en charge leurs besoins grâce à une méthode automatisée. Nous pouvons prédire que 50 % ou plus des interactions avec les clients seront gérées par des robots sur tous les canaux : web, téléphone mobile, haut-parleurs intelligents et médias sociaux.
La conversation vous permettra d’attirer des clients et de vous démarquer de vos concurrents.
La conversation est la manière la plus naturelle de s’exprimer et elle représentera une véritable arme que les autres ne posséderont pas : la connaissance du client. Connaître un client, c’est le sécuriser.

Voici une liste non exhaustive des avantages de la conversation :

Répondre à des questions très basiques et répétitives fait appel aux compétences minimales d’un robot.
Répondre à des questions plus spécifiques et personnalisées (une connexion au CRM et/ou à d’autres outils est essentielle) : Un client dans une banque demanderait : « Suis-je éligible pour un prêt hypothécaire ? » Après plusieurs questions posées comme un vrai conseiller financier, le robot est capable de dire au client s’il est ou non éligible à un prêt hypothécaire, à quel montant il est éligible, dans quelles situations, et quels sont les risques : Le robot possède toutes les informations sur la situation du client et a accès à son dossier.
Réalisation d’actions dans les outils de services d’information (RPA) : le robot va au-delà de la conversation, il peut réaliser des actions.
Exemple : « J’ai perdu ma carte de membre ». Le client appelle l’entreprise et un robot lui répond au téléphone ou dans une fenêtre de chat. Le robot enregistre le client et lui pose toutes les questions essentielles pour analyser sa demande. Si nécessaire, il peut créer un numéro de suivi tout en traitant la demande à l’aide de l’outil de l’entreprise créé à cet effet. La carte de membre est traitée et imprimée sans aucune aide humaine. Le suivi est assuré par le robot qui peut envoyer un message texte à chaque étape du processus.
Poser des questions pour connaître le client et ses besoins. Il est possible de créer un robot capable de poser des questions et de donner des conseils, tout comme un conseiller humain. Dites adieu aux robots incapables d’avoir une véritable conversation et qui ne peuvent répondre qu’à des questions de type FAQ.
Collecte de données comportementales (non privées) afin d’adapter une offre marketing ou d’améliorer un service.
Automatiser les tâches et les processus pour faire gagner du temps aux équipes humaines.
Voici maintenant quelques préjugés sur les robots :

#1 Préjugé : « Les assistants virtuels sont nuls, ils ne comprennent rien ».
La capacité d’un robot à comprendre des mots humains ou non dépend uniquement de la technologie utilisée pour sa création. Il y a deux raisons pour lesquelles un robot peut ne pas comprendre ou ne pas apprendre correctement : soit ses connaissances n’ont pas été intégrées dans son système, soit elles l’ont été mais l’outil utilisé pour créer et former le robot est limité et ne permet donc pas au robot de comprendre certaines expressions. Choisissez judicieusement la technologie que vous souhaitez utiliser.

#2 Préjugés : « Un assistant virtuel n’aura d’impact que sur mon département ».
En réalité, une fois que vous aurez introduit un assistant virtuel dans votre entreprise, sachez que vous devrez peut-être repenser presque tout. Par exemple, pour que le callbot reconnaisse son interlocuteur et puisse personnaliser la conversation, le robot doit être connecté à votre CRM ou à tout autre outil susceptible de fournir à l’appelant les informations dont il a besoin.
Cependant, cela implique de repenser l’automatisation du marketing ou le contenu que vous allez fournir. Répondre à quelques questions ne suffira pas, car l’ère des FAQ est révolue. Désormais, anticiper les questions et être proactif avec les clients constituent une qualité que vous pouvez acquérir en saisissant l’opportunité et en innovant grâce à votre robot.

#3 Préjugés : « Un robot est difficile à mettre en œuvre car il nécessite une transformation profonde.
Pour réinventer le système de communication avec les différents publics, la transformation d’un processus, d’un département ou même d’une entreprise entière peut sembler difficile à première vue. Cependant, lors de nos rencontres avec différentes entreprises, nous avons trouvé une méthode simple et infaillible : commencez par un simple robot dans 2 ou 3 situations, où vous pourrez apprendre. Ciblez les véritables « pain-points » de votre département, c’est-à-dire les tâches qui vous prennent 60 à 70% de votre temps mais qui ne sont pas les plus utiles. En améliorant vos points faibles, d’autres situations deviendront plus faciles à gérer et votre robot pourra grandir avec vous.

#4 Préjugé : « Je dois avoir des compétences techniques pour créer ou gérer mon assistant ».
Souvenez-vous des premiers sites web des années 2000 : il est choquant de penser qu’à l’époque les entreprises devaient faire appel à un développeur pour insérer un lien URL sur la page d’accueil de leur site web qui avait coûté 50K$.
Afin d’éviter que cela ne se reproduise et que l’on perde 10 à 15 ans d’histoire du bot, Kwalys a rendu tout cela plus facile et plus accessible à tous : n’importe qui peut configurer et améliorer les bots. La seule compétence requise est d’avoir du bon sens et une bonne connaissance du métier.

#5 Préjugés : « Un robot coûte cher, il n’est accessible qu’aux gros portefeuilles ».
Toute entreprise a besoin d’outils de qualité et doit avoir des interactions de qualité avec ses clients et partenaires ainsi que maximiser ses processus : d’une entreprise dirigée par 2 employés, qui utilise un robot pour répondre aux questions fréquemment posées sur leur site web ou par téléphone, par exemple « Quand ma commande va-t-elle arriver ? », à une petite ou moyenne entreprise qui peut traiter 40% de toutes les demandes grâce à son robot.
Nous sommes tous des clients de ces entreprises qui représentent 80% de la sphère économique française et en tant que consommateurs, nous méritons tous de gagner du temps et d’être bien traités.

#6 Préjugés : « Si je fais un chatbot pour mon site web, je dois TOUT recommencer pour faire un voicebot ou un callbot. »
L’approche multicanale et omnicanale est désormais possible avec Kwalys. Nous partons du principe que votre robot assistant est votre partenaire et qu’il peut répondre sur n’importe quel canal, car le plus important est d’être pertinent avec les clients et d’être là où ils se trouvent. Le même robot, différent selon le canal, est connecté sur les canaux voix et chat. Un véritable gain de temps pour la gestion du bot multicanal et pour la supervision des statistiques.

#7 Préjugé : « Les robots ne sont que des programmes ».
Les assistants conversationnels ne sont pas de simples programmes ou de simples robots. Chez Kwalys, nous considérons ces robots comme des partenaires à part entière. Nous mettons tout en œuvre pour qu’ils s’adaptent et s’intègrent parfaitement à votre entreprise afin d’apporter une valeur ajoutée à votre relation client et de faire de votre entreprise un concurrent de taille.

Katya Lainé
PDG et cofondatrice

the 7 prejudices about chatbots

How the Conversational approach is going to be a revolution for your customer relations and your course of action : 7 prejudices we must fight.

50% or more of all your interactions with customers will be handled by vocal and chat conversational assistants by 2025.*

Conversational bots are a new interface that gives companies the possibility to be closer to their customers, to get to know their users using a cutting-edge method and to improve customer services performance. Nothing new, you’ll say.
Well, tools and technologies that allow to have a real conversation, and not just answer a list of questions asked by the customer are scarce.
The real stakes for the next 3 years are to be able to have a real conversation with customers, or in other words, to be able to understand and to care for their needs thanks to an automated method. We can predict that 50% or more of customer interactions will be handled by robots on all channels: web, mobile phone, smart speakers and social media.
Conversation will allow you to attract customers, and to stand out from other competitors.
Conversation is the most natural way to express yourself and it will represent a real weapon that others won’t possess: customer knowledge. Knowing a customer is securing a customer.

Here is a non-exhaustive list of conversational benefits:

Answering very basic and repetitive questions calls upon a robot’s minimal skills.
Answering more specific and personalized questions (a connection to CRM and/or other tools is essential) : A customer in a bank would ask: “Am I eligible for a mortgage?” Following several questions asked just like a real financial consultant, the robot is able to tell the customer if they are or are not eligible for a mortgage, what amount they are eligible for, in which situations, and what the risks are: The robot possesses all the information about the customer’s situation, and has access to their file.
Carrying out actions in Information Services tools (RPA): the robot goes beyond conversation, it can performs actions.
Example: “I’ve lost my membership card.” The customer calls the company and a robot answers on the phone or in a chat window. The bot logs the customer in and asks all the essential questions to analyze their request. If needed, it can create a tracking number while handling the request using the company tool created for this purpose. The membership card is processed and printed without any human help. The tracking is handled by the robot which can send a text message for each step of the process.
Asking questions to get to know the customer and their needs. It is possible to create a robot that can ask questions and can give advice just like a human retail adviser. Say goodbye to robots that cannot have a real conversation and can only answer FAQ questions.
Collecting behavioral data (non private) in order to adjust a marketing offer or to improve a service.
Automating tasks and processes to save human teams time.
Now, here are some prejudices about robots:

 

#1 Prejudice : “Virtual assistants are lame, they don’t understand anything.”
A robot’s ability to understand human words or not solely depends on the technology used for its creation. There are two reasons why a robot may not understand or may not learn properly: either its knowledge has not been implemented in its system, either it has but the tool used to create and train the robot is limited and therefore does not allow the robot to understand some expressions. Choose wisely the technology you want to use.

#2 Prejudice: “A virtual assistant will have an impact on my department only.”
In reality, once you have introduced a virtual assistant in your company, know that you may have to rethink almost everything. For instance, in order for the callbot to recognize the person it is talking to and to be able to personalize the conversation, the robot must be connected to your CRM or any other tool that can provide the caller the information they need.
However, this means rethinking the marketing automation or the content you are going to provide. Answering a few questions will not be enough, as the FAQ era is over. From now on, anticipating questions and being proactive with clients constitute a quality you can acquire by ceasing the opportunity and innovating thanks to your robot.

#3 Prejudice: “A robot is difficult to implement as it requires a huge transformation.”
In order to reinvent the communication system with different audiences , transforming a process, a department or even a whole company might seem difficult at first. However, during our meetings with different companies, we have found a simple and unerring method: start with a simple robot in 2 or 3 situations, where you will be able to learn. Target your department’s real “pain-points”, or in other words tasks that take 60-70% of your time but are not the most useful ones. By improving your pain-points, other situations will become easier to handle and your robot will be able to grow with you.

#4 Prejudice: “I need to have technical skills in order to create or manage my assistant.”
Remember the first websites from the 2000’s : it seems shocking now to think that back then companies needed to call a developer to insert a URL link on their website’s homepage that had cost 50K$.
In order to prevent this from happening again and losing 10-15 years of the bot’s history, Kwalys has made all of that easier and more reachable for everybody: anybody can configure and improve bots. The only required skill: having good sense and having a good knowledge of the job.

#5 Prejudice: “A robot is expensive, it’s only affordable for fat wallets.”
Any company needs high-quality tools and needs to have quality interactions with customers and partners as well as getting its process maximized: from a company ran by 2 employees, that uses a bot to answer frequently asked questions either on their website or by phone for instance “When is my order going to arrive?”, to a small or medium company that can handle 40% of all the requests thanks to their bot.
We have made this bot more reachable for everybody as we wanted to generalize robots.We all are customers to these companies that represent 80% of the french economical sphere and as consumers, we all deserve to save time and being well cared for.

#6 Prejudice: “If I make a chatbot for my website, I need to start EVERYTHING over to make a voicebot or a callbot.”
The multi-channel and omni-channel approach is now possible with Kwalys. We work on the assumption that your robot assistant is your partner and can answer on any channel, as the most important point is to be relevant with customers and to be where they stand. The same bot, varying depending on the channel, is connected on the voice and chat channels. A true time saver for the multi-channel bot’s management and for the stats supervision.

#7 Prejudice: “Robots are just programs.”
Conversational assistants are not just simple programs or simple robots. At Kwalys, we consider these robots as your full-time partners. We do everything we can for them to suit and join your company smoothly in order to bring an added worth to your customer relations and make your company a great competitor.

Katya Lainé
CEO & Co-founder

*Forecast by TALKR

Le Péril de la Vérité dans l’Ère des IAGs : L’Ouroboros Technologique

Au cœur de cette ère numérique en constante évolution des IAG, l’intelligence artificielle (IA) trône en souveraine, embrassant les rôles de penseur, créateur, et même, dans certains cas, manipulateur de l’information, désinformateur. Cette révolution technologique a fait émerger une nouvelle race d’entités cognitives : les IAGs (Intelligence Artificielle Génératives). Ces IAGs, dont le célèbre ChatGPT, sont les gardiens des trésors de connaissances en ligne. Pourtant, leur avenir est entouré d’un nuage sombre : un serpent qui se mord la queue.

Le paradoxe auquel nous sommes confrontés est fascinant : les IAGs, qui sont conçus pour fournir des informations précises et pertinentes par des mécanismes de probabilités vectorielles, risquent de se retrouver enchaînés à un cycle sans fin de désinformation et de faussetés. Comment cela est-il possible ? La réponse est à la fois simple et terrifiante : l’IA génère du contenu faux et inventé. Si cette production est plausible, grammaticalement correcte et suit une logique rudimentaire, elle peut se retrouver dans les bases de données sur lesquelles ces IAGs s’appuient.

Cependant, le véritable problème réside dans le fait que l’IA ne distingue pas intrinsèquement la vérité du mensonge en allant chercher ses sources sur internet et des larges DATAsets. Elle est dépourvue de remords lorsqu’il s’agit de mentir, car elle n’a pas de conscience morale. Ainsi, ces IAGs sont piégés dans un cercle vicieux : ils s’entraînent sur des données qui contiennent leurs propres mensonges, ce qui les conduit à générer des réponses de plus en plus erronées, créant ainsi un cycle infernal.

L’IA est le reflet de l’Ouroboros, le serpent antique qui se mord la queue, une métaphore parfaite pour décrire cette situation paradoxale. Les intelligences artificielles se nourrissent de données en ligne, mais si ces données sont de plus en plus altérées par la désinformation qu’ils ont eux-mêmes générée, le résultat ne peut être que néfaste. Les futurs modèles d’IA risquent d’être fondés sur des bases de données polluées malgré des efforts des hum, et l’effondrement du modèle devient une perspective inquiétante.

Le problème est si grave que des chercheurs se sont lancés dans la quête désespérée du filtrage des données synthétiques. Ils cherchent à distinguer le vrai du faux, à établir des barrières pour empêcher ces IAGs de s’enliser davantage dans le marécage de la désinformation. La vérité, dans ce cas, est précieuse, mais elle devient un bien rare dans un monde dominé par les IAGs.

Alors, que devons-nous faire pour éviter le péril imminent ? La réponse peut sembler tragico-comique : une supervision stricte des IAGs. Si nous ne voulons pas que ces entités intelligentes se transforment en créateurs de mensonges invétérés, nous devons les guider, les surveiller, et leur imposer des limites. Il est impératif que l’humain reste aux commandes, que l’IA soit notre outil, et non l’inverse.

Il est peut-être ironique que dans cette quête technologique pour atteindre des sommets d’intelligence artificielle, nous ayons besoin de maintenir un certain degré d’humilité. Le destin des IAGs, de notre réalité numérique et, finalement, de notre vérité, repose en partie sur notre capacité à contrôler et à guider ces créations de notre propre invention. Car, dans ce cycle infini d’informations altérées, il est essentiel de ne jamais oublier que l’IA est un reflet de l’humanité, avec tout ce que cela implique en bien et en mal. L’ouroboros technologique peut être maîtrisé, mais seulement si nous sommes prêts à prendre les rênes et à l’orienter dans la direction de la vérité.

La Puissance des Bots Propulsée par les Modèles de Langage Génératif et les Plateformes NoCode

Les bots, ces programmes automatisés capables d’effectuer des tâches diverses et variées, sont en train de révolutionner la manière dont nous interagissons avec la technologie. Cependant, le véritable bouleversement arrive avec l’intégration des Modèles de Langage Génératif (LLM) et des plateformes NoCode. Grâce à cette combinaison, il devient possible de créer des bots complexes sans avoir besoin de compétences en codage et en développement, offrant ainsi une myriade de possibilités aux usagers finaux. Dans cet article, nous explorerons la puissance des bots alimentés par les LLM et les raisons pour lesquelles les plateformes NoCode sont essentielles pour rendre cette technologie accessible à tous. Les développeurs n’apparaissent pas alors dans la création du bot qui est faite par un bot designer.

La Révolution des Bots Propulsés par les LLM

Les Modèles de Langage Génératif (LLM) ont propulsé les bots vers de nouveaux sommets en matière d’intelligence et de polyvalence. Ces modèles d’IAG sont capables de comprendre le langage naturel et de générer des réponses cohérentes et pertinentes. Lorsqu’ils sont associés à des plateformes NoCode, les possibilités deviennent illimitées. Voici 50 exemples de bots que vous pouvez créer sans même avoir à écrire une seule ligne de code :

50 Possibilités de Créations de Bots NoCode :

  1. Chatbots de service client.
  2. Bots de collecte de données.
  3. Chatbots de réservation de rendez-vous.
  4. Bots de recommandations de produits.
  5. Bots de suivi de projet.
  6. Chatbots pour sondages et enquêtes.
  7. Bots de notifications d’événements.
  8. Chatbots de tri des e-mails.
  9. Bots de suivi de livraisons.
  10. Bots de planification de réunions.
  11. Bots de traduction en temps réel.
  12. Chatbots de formation en entreprise.
  13. Bots de conversion de devises.
  14. Bots de création de contenu.
  15. Chatbots pour l’assistance juridique.
  16. Bots de gestion des réseaux sociaux.
  17. Chatbots de suivi de remboursements.
  18. Bots de recommandations de restaurants.
  19. Bots de suivi de dépenses.
  20. Chatbots pour le recrutement.
  21. Bots pour l’automatisation du marketing.
  22. Chatbots de génération de rapports.
  23. Bots pour la gestion de projets artistiques.
  24. Chatbots de création de sites web.
  25. Bots de surveillance des stocks.
  26. Bots pour les services de conciergerie.
  27. Chatbots pour la recherche de données médicales.
  28. Bots pour l’assistance aux étudiants.
  29. Chatbots pour la gestion de l’inventaire.
  30. Bots pour la création de quiz.
  31. Chatbots de réservation de billets.
  32. Bots pour la création de sondages.
  33. Chatbots de gestion de tâches ménagères.
  34. Bots pour la création de playlist.
  35. Chatbots pour le suivi des symptômes médicaux.
  36. Bots pour l’organisation de voyages.
  37. Chatbots pour la planification d’événements.
  38. Bots de suivi des abonnements.
  39. Chatbots pour la gestion de réservations d’hôtels.
  40. Bots pour la création de CV.
  41. Chatbots pour l’automatisation des réunions d’équipe.
  42. Bots pour la recherche d’articles de presse.
  43. Chatbots pour la création de citations.
  44. Bots de gestion des abonnés.
  45. Chatbots pour la planification de menus.
  46. Bots pour la gestion de comptes bancaires.
  47. Chatbots pour l’assistance aux utilisateurs de logiciels.
  48. Bots de génération de factures.
  49. Chatbots pour la gestion de listes de tâches.
  50. Bots pour la création de jeux-questionnaires interactifs.

Pourquoi Opter pour des Bots NoCode ?

L’utilisation de plateformes NoCode pour créer des bots présente plusieurs avantages, en particulier pour les usagers finaux qui ne sont pas des développeurs professionnels :

  1. Accessibilité : Les plateformes NoCode rendent la création de bots accessible à un public beaucoup plus large, éliminant ainsi les barrières technologiques. Facile à gérer pour le métier et les utilisateurs finaux.
  2. Rapidité : Créer des bots avec NoCode est plus rapide que le développement traditionnel, ce qui permet de mettre rapidement en place des solutions automatisées.
  3. Personnalisation : Les usagers finaux peuvent personnaliser leurs bots en fonction de leurs besoins spécifiques, sans dépendre d’une équipe de développement.
  4. Réduction des coûts : Éviter le besoin de développeurs signifie des coûts de développement considérablement réduits.
  5. Empowerment : Les usagers finaux peuvent devenir autonomes dans la création et la gestion de leurs bots, ce qui libère du temps et des ressources.

l’alliance des Modèles de Langage Génératif et des plateformes NoCode représente une révolution dans le domaine des bots. Les possibilités sont infinies, et l’accessibilité pour les usagers finaux est sans précédent. C’est le moment idéal pour explorer les avantages de cette combinaison puissante et pour libérer la créativité et l’efficacité de vos équipes grâce aux bots NoCode.

Lorsqu’il s’agit de créer des bots, l’une des problématiques majeures est le temps que cela peut prendre. Les méthodes traditionnelles de développement de bots, nécessitant la maîtrise de langages de programmation complexes, sont souvent fastidieuses et chronophages. Cependant, grâce aux outils NoCode, cette lenteur devient une histoire du passé.

Les outils NoCode sont conçus pour simplifier le processus de développement de manière considérable. Ils éliminent la nécessité de coder manuellement chaque fonction, ce qui accélère la création de bots de manière significative. Voici comment les outils NoCode réduisent le temps requis pour la fabrication des bots :

  1. Interface Intuitive : Les outils NoCode offrent des interfaces conviviales, permettant aux utilisateurs de créer et de configurer des bots en utilisant des blocs et des fonctionnalités préconçus. Cela élimine la nécessité d’écrire des lignes de code complexes.

  2. Réutilisation de Composants : Les outils NoCode permettent de réutiliser des composants de bot existants. Vous pouvez créer une bibliothèque de fonctionnalités et de réponses prédéfinies que vous pouvez facilement intégrer dans d’autres bots, ce qui vous fait gagner un temps précieux.

  3. Test et Déploiement Rapides : Les outils NoCode facilitent les tests et le déploiement, car vous pouvez rapidement itérer sur votre bot sans avoir à attendre des cycles de développement longs.

  4. Personnalisation Facile : Même si vous ne possédez pas de compétences de codage, les outils NoCode permettent une personnalisation complète de votre bot. Vous pouvez adapter le comportement, l’apparence et les interactions en fonction de vos besoins spécifiques.

  5. Formation Simplifiée : Les utilisateurs n’ont pas besoin de suivre des formations complexes en codage pour utiliser les outils NoCode. Cela signifie que vous pouvez mettre en place des équipes polyvalentes et autonomes pour créer et gérer des bots.

En résumé, les outils NoCode révolutionnent la manière dont les bots sont créés en éliminant le besoin de coder manuellement chaque aspect. Ils permettent de concevoir des bots plus rapidement, de réduire les délais de développement, et d’itérer plus efficacement. Ainsi, ce qui était autrefois une tâche fastidieuse est maintenant une opportunité d’innovation et d’automatisation rapide. Il n’a jamais été aussi simple et rapide de donner vie à des bots puissants pour répondre aux besoins spécifiques de votre entreprise.

TALKR