les 7 préjugés concernant les chatbots

Comment l’approche conversationnelle va être une révolution pour votre relation client et votre ligne de conduite : 7 préjugés à combattre.

50% ou plus de toutes vos interactions avec les clients seront gérées par des assistants conversationnels vocaux et par chat d’ici 2025.*

Les bots conversationnels sont une nouvelle interface qui offre aux entreprises la possibilité de se rapprocher de leurs clients, de connaître leurs utilisateurs avec une méthode avant-gardiste et d’améliorer la performance des services clients. Rien de nouveau, direz-vous.
Eh bien, les outils et les technologies qui permettent d’avoir une véritable conversation, et pas seulement de répondre à une liste de questions posées par le client, sont rares.
Le véritable enjeu des trois prochaines années est d’être capable d’avoir une véritable conversation avec les clients, ou en d’autres termes, d’être capable de comprendre et de prendre en charge leurs besoins grâce à une méthode automatisée. Nous pouvons prédire que 50 % ou plus des interactions avec les clients seront gérées par des robots sur tous les canaux : web, téléphone mobile, haut-parleurs intelligents et médias sociaux.
La conversation vous permettra d’attirer des clients et de vous démarquer de vos concurrents.
La conversation est la manière la plus naturelle de s’exprimer et elle représentera une véritable arme que les autres ne posséderont pas : la connaissance du client. Connaître un client, c’est le sécuriser.

Voici une liste non exhaustive des avantages de la conversation :

Répondre à des questions très basiques et répétitives fait appel aux compétences minimales d’un robot.
Répondre à des questions plus spécifiques et personnalisées (une connexion au CRM et/ou à d’autres outils est essentielle) : Un client dans une banque demanderait : « Suis-je éligible pour un prêt hypothécaire ? » Après plusieurs questions posées comme un vrai conseiller financier, le robot est capable de dire au client s’il est ou non éligible à un prêt hypothécaire, à quel montant il est éligible, dans quelles situations, et quels sont les risques : Le robot possède toutes les informations sur la situation du client et a accès à son dossier.
Réalisation d’actions dans les outils de services d’information (RPA) : le robot va au-delà de la conversation, il peut réaliser des actions.
Exemple : « J’ai perdu ma carte de membre ». Le client appelle l’entreprise et un robot lui répond au téléphone ou dans une fenêtre de chat. Le robot enregistre le client et lui pose toutes les questions essentielles pour analyser sa demande. Si nécessaire, il peut créer un numéro de suivi tout en traitant la demande à l’aide de l’outil de l’entreprise créé à cet effet. La carte de membre est traitée et imprimée sans aucune aide humaine. Le suivi est assuré par le robot qui peut envoyer un message texte à chaque étape du processus.
Poser des questions pour connaître le client et ses besoins. Il est possible de créer un robot capable de poser des questions et de donner des conseils, tout comme un conseiller humain. Dites adieu aux robots incapables d’avoir une véritable conversation et qui ne peuvent répondre qu’à des questions de type FAQ.
Collecte de données comportementales (non privées) afin d’adapter une offre marketing ou d’améliorer un service.
Automatiser les tâches et les processus pour faire gagner du temps aux équipes humaines.
Voici maintenant quelques préjugés sur les robots :

#1 Préjugé : « Les assistants virtuels sont nuls, ils ne comprennent rien ».
La capacité d’un robot à comprendre des mots humains ou non dépend uniquement de la technologie utilisée pour sa création. Il y a deux raisons pour lesquelles un robot peut ne pas comprendre ou ne pas apprendre correctement : soit ses connaissances n’ont pas été intégrées dans son système, soit elles l’ont été mais l’outil utilisé pour créer et former le robot est limité et ne permet donc pas au robot de comprendre certaines expressions. Choisissez judicieusement la technologie que vous souhaitez utiliser.

#2 Préjugés : « Un assistant virtuel n’aura d’impact que sur mon département ».
En réalité, une fois que vous aurez introduit un assistant virtuel dans votre entreprise, sachez que vous devrez peut-être repenser presque tout. Par exemple, pour que le callbot reconnaisse son interlocuteur et puisse personnaliser la conversation, le robot doit être connecté à votre CRM ou à tout autre outil susceptible de fournir à l’appelant les informations dont il a besoin.
Cependant, cela implique de repenser l’automatisation du marketing ou le contenu que vous allez fournir. Répondre à quelques questions ne suffira pas, car l’ère des FAQ est révolue. Désormais, anticiper les questions et être proactif avec les clients constituent une qualité que vous pouvez acquérir en saisissant l’opportunité et en innovant grâce à votre robot.

#3 Préjugés : « Un robot est difficile à mettre en œuvre car il nécessite une transformation profonde.
Pour réinventer le système de communication avec les différents publics, la transformation d’un processus, d’un département ou même d’une entreprise entière peut sembler difficile à première vue. Cependant, lors de nos rencontres avec différentes entreprises, nous avons trouvé une méthode simple et infaillible : commencez par un simple robot dans 2 ou 3 situations, où vous pourrez apprendre. Ciblez les véritables « pain-points » de votre département, c’est-à-dire les tâches qui vous prennent 60 à 70% de votre temps mais qui ne sont pas les plus utiles. En améliorant vos points faibles, d’autres situations deviendront plus faciles à gérer et votre robot pourra grandir avec vous.

#4 Préjugé : « Je dois avoir des compétences techniques pour créer ou gérer mon assistant ».
Souvenez-vous des premiers sites web des années 2000 : il est choquant de penser qu’à l’époque les entreprises devaient faire appel à un développeur pour insérer un lien URL sur la page d’accueil de leur site web qui avait coûté 50K$.
Afin d’éviter que cela ne se reproduise et que l’on perde 10 à 15 ans d’histoire du bot, Kwalys a rendu tout cela plus facile et plus accessible à tous : n’importe qui peut configurer et améliorer les bots. La seule compétence requise est d’avoir du bon sens et une bonne connaissance du métier.

#5 Préjugés : « Un robot coûte cher, il n’est accessible qu’aux gros portefeuilles ».
Toute entreprise a besoin d’outils de qualité et doit avoir des interactions de qualité avec ses clients et partenaires ainsi que maximiser ses processus : d’une entreprise dirigée par 2 employés, qui utilise un robot pour répondre aux questions fréquemment posées sur leur site web ou par téléphone, par exemple « Quand ma commande va-t-elle arriver ? », à une petite ou moyenne entreprise qui peut traiter 40% de toutes les demandes grâce à son robot.
Nous sommes tous des clients de ces entreprises qui représentent 80% de la sphère économique française et en tant que consommateurs, nous méritons tous de gagner du temps et d’être bien traités.

#6 Préjugés : « Si je fais un chatbot pour mon site web, je dois TOUT recommencer pour faire un voicebot ou un callbot. »
L’approche multicanale et omnicanale est désormais possible avec Kwalys. Nous partons du principe que votre robot assistant est votre partenaire et qu’il peut répondre sur n’importe quel canal, car le plus important est d’être pertinent avec les clients et d’être là où ils se trouvent. Le même robot, différent selon le canal, est connecté sur les canaux voix et chat. Un véritable gain de temps pour la gestion du bot multicanal et pour la supervision des statistiques.

#7 Préjugé : « Les robots ne sont que des programmes ».
Les assistants conversationnels ne sont pas de simples programmes ou de simples robots. Chez Kwalys, nous considérons ces robots comme des partenaires à part entière. Nous mettons tout en œuvre pour qu’ils s’adaptent et s’intègrent parfaitement à votre entreprise afin d’apporter une valeur ajoutée à votre relation client et de faire de votre entreprise un concurrent de taille.

Katya Lainé
PDG et cofondatrice

Assistant x Omnicanalité-La seconde vague conversationnelle

#4 « La deuxième vague conversationnelle » 

#4 “Assistant x Omnicanalité = Automatisation conversationnelle optimale”

Le texte est 100% écrit par un humain (KL talkr.ai)

L’image est 100% générée par une IA (dreamstudio.ai)

Pourquoi avoir un Assistant omnicanal ? 

L’omnicanalité signifie qu’un seul Bot est connecté sur tous les canaux d’interaction de l’entreprise et si un utilisateur interagit sur le Web et ensuite contacte  la marque au téléphone, le Bot fera une conversation adaptée et contextualisée et tiendra compte de la première interaction.

La plupart du temps, l’omnicanaité est confondue avec la multicanalité qui elle, signifie uniquement la présence sur plusieurs canaux, mais pas forcément l’approche unifiée de 1 Bot sur tous les canaux.

L’approche omnicanle est le standard actuel vers lequel vous devez vous diriger. L’omnicanalité permet de gérer d’une manière centralisée les utilisateurs et d’éviter d’ouvrir plusieurs demandes sur tous les canaux et de gaspiller des ressources de réponses ce qui est clairement une perte de temps pour vos équipes. L’optimisation est le premier effet de l’omnicanalité. Mais au-delà de l’optimisation, vous agissez également directement sur l’expérience utilisateur et en améliorant nettement la satisfaction et en appuyant sur la fidélisation. 

Dans l’univers de l’Assistant virtuel conversationnel, l’Omnicanalité est une exigence primordiale et vous permet d’avoir automatiquement les données et les insights utilisateur / client par canal et de gérer d’une manière centralisée tous vos canaux. 

Quels sont les canaux investis par l’Agent conversationnel ? 

  • Web: Classiquement les Bots opère sur les canaux Web : Sites Internet, applications mobiles, réseaux sociaux (Insta, Meta, X, Teams, etc.,  ) On ne présente plus les ChatBot.
  • Téléphonie: L’assistant conversationnel vocal remplace les Serveurs Vocaux interactifs non intelligents et vient apporter une couche de compréhension et de traitement très poussée => CallBot
    On consacrera un article spécifique à ce canal qui représente 50% des interactions des utilisateurs.
  • RCS / SMS : Le Bot est tout naturellement présent aussi en interaction par messagerie. Le messaging est un canal spécifique de chat télécom. Le RCS, ou SMS nouvelle génération, représente un canal de communication innovant, universel, sécurisé et exempt de consentement supplémentaire pour les clients. Il offre la possibilité d’injecter de la créativité dans vos campagnes marketing et relation clients grâce à des fonctionnalités étendues telles que les images, vidéos, cartes, carrousels et appels à l’action, tout en stimulant les interactions et l’engagement des utilisateurs. 

Est-ce que le Bot discute de la même manière avec les utilisateurs sur les différents canaux ? 

L’essence des échanges est la même, c’est l’idée principale derrière l’omnicanalité.  En revanche chaque canal a sa spécificité et a ses avantages et ses inconvénients. Chaque canal impose au bot des règles dictées par l’environnement du canal et de ses propres caractéristiques. Sur le canal téléphonique on va transformer par exemple les interactions qui incluent des images, des vidéos ou des liens, en adaptant les dialogues et en permettant tout de même d’être efficace et apporter la réponse et le service attendu. L’avantage du canal voix est la simplicité et la rapidité d’interaction, tandis que les canaux chat sont plus discrets, mais moins inclusifs.

Est-ce que le Bot peut faire du cross-canal ?

Bien évidemment ! Un exemple précis de cross-canalité est de détecter un lead chaud sur un canal chat (site web et en temps réel transférer la conversation vers un conseiller qui pourra avancer dans le closing ou dans la réponse immédiate d’un besoin détecté par le Bot. 

Multicanal, Cross-canal ou Omnicanal, L’Assistant virtuel est l’interface la plus efficace d’échange avec vos clients !

Les callbots, véritables catalyseurs du progrès technologique

La révolution des callcenters et des assistants virtuel est déjà en marche 

Les callbots, au cœur de la révolution technologique contemporaine, représentent bien plus qu’une simple évolution des assistants personnels vocaux. Leur interconnexion, souvent sous-estimée, offre un regard fascinant sur l’avenir de notre interaction avec la technologie qui nous entoure.

L’Interopérabilité et l’Évolution des Assistants Personnels

L’interopérabilité entre les principaux acteurs du marché, tels que Siri, Google Now et Amazon Echo, soulève des questions fondamentales sur la collaboration technologique et leur apprentissage. Bien que ces assistants aient des sphères d’influence distinctes, la nécessité de « s’apprendre à se parler, » comme l’illustre une démonstration récente, révèle une dynamique sous-jacente cruciale.

Les Domaines d’Application Distincts

Chacun de ces assistants virtuels apporte une contribution unique au quotidien des utilisateurs. Siri, profitant de l’effet de marque Apple, excelle dans des fonctions d’agenda et de logistique ou encore de réveil/alerte. Google Now sert principalement d’interface vocale pour interroger le moteur de recherche omniprésent de Google et de donner une information de plus en plus conversationnnelle avec les LLMs. De son côté, Amazon Echo avec son acolyte Alexa s’impose comme l’assistant personnel le plus polyvalent, capable de gérer une multitude de tâches au sein du foyer.

Nécessité de Coopération Technologique

L’absence de concurrence frontale ne doit pas dissimuler la nécessité pour ces assistants de développer des mécanismes d’intercommunication. Cette coopération est essentielle pour créer une expérience utilisateur fluide et harmonieuse, libérant ainsi tout le potentiel de ces technologies.

La Dimension Symbolique

Au-delà de l’aspect technique, l’essor des callbots soulève des questions symboliques profondes quant à notre relation avec la technologie. Le fait que des artefacts technologiques soient capables d’entrer en dialogue marque une étape significative dans notre parcours technologique. Où se situe la place de l’humain dans un monde déshumanisé ?

Transition de l’Instruction Humaine à l’Automatisation des parcours utilisateurs

L’instruction humaine initiale, bien que cruciale, soulève des interrogations sur l’évolution future de cette relation. À mesure que l’automatisation progresse, que deviendra cette étape d’amorçage humaine ? Sera-t-elle automatisée, sous-entendue, voire implicite, comme le sont devenues la plupart de nos interactions dans un environnement non-vocal ? Aura t’on le droit à un ice-breacker pour lancer une conversation avec un assistant virtuel ?

Jusqu’où Peuvent Aller les Callbots dans le Dialogue ?

La deuxième question symbolique concerne le niveau de coopération dans le dialogue que ces « assistants personnels » peuvent atteindre. Jusqu’où peuvent-ils évoluer dans la compréhension contextuelle, la nuance, et la capacité à répondre de manière adaptative aux besoins changeants des utilisateurs ? ELs bots sont de plus en plus pro-actifs et peuvent résoudre des tâches de plus en plus complexes. 

La Métaphore de Michel Serres

Utilisons la métaphore de Michel Serres, qui compare notre interaction avec la technologie à notre position dans une voiture, pour approfondir notre compréhension de cette transition. En étant assis à la place du passager, nous nous trouvons dans une position où nous sommes contraints de nous laisser conduire. Cela soulève des questions cruciales sur la délégation croissante de contrôle à ces assistants vocaux. (La thèse de Michel Serres consiste à affirmer que toute invention suppose par essence une sortie des sentiers battus, une rupture avec le conformisme.)

De la Place du Conducteur au Siège Enfant

Il est tentant de percevoir cette transition vers les callbots comme un déplacement vers le siège enfant de l’habitacle technologique. Nous pouvons même nous demander si nous ne sommes pas sur le point de courir à côté de la voiture, laissant ainsi une part croissante de nos décisions et interactions à ces entités numériques.

Les Avantages et les Risques Sociétaux

Si les callbots offrent des avantages indéniables en termes d’efficacité et de commodité, il est crucial de ne pas ignorer les risques sociétaux associés à cette délégation croissante de responsabilités. Les robots vont choisir à notre place et le font déjà quand on prend la voiture avec Waze par exemple. cela illustre parfaitement le cas de la prise de décision automatisée par l’IA.

Avantages Technologiques

Les callbots apportent indéniablement des avantages technologiques significatifs. Leur capacité à automatiser des tâches, à fournir des informations en temps réel et à s’adapter aux préférences individuelles améliore notre quotidien de manière palpable. L’expérience utilisateur est au coeur des enjeux du futur : la personnalisation des intéractions est essentielles pour permettre un accompagnement des utilisateurs dans le traitement des tâches réccurentes à solutionner.

Risques et Préoccupations

Cependant, cette transition vers une dépendance accrue envers les callbots n’est pas sans risques. Des préoccupations émergent quant à la sécurité des données, à la perte de contrôle sur nos interactions, et à l’éthique de l’intelligence artificielle. Comment assurer que ces technologies évoluent de manière éthique tout en offrant des avantages tangibles ?

En conclusion, l’essor des callbots représente une étape majeure dans notre relation avec la technologie. Leur interconnexion et leur capacité à évoluer dans des interactions complexes offrent des opportunités passionnantes, mais ne doivent pas faire oublier les défis sociétaux qu’ils engendrent. La clé réside dans une approche équilibrée qui exploite les avantages tout en atténuant les risques potentiels et les biais associés. Alors que nous progressons vers une ère où les callbots deviennent omniprésents, il est impératif de rester conscients des implications profondes de cette révolution technologique qui va boulverser notre quotidien dans un futur pas si loin que ça.

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RGPD : ce bot est une démonstration avant tout et n’a pas de vocation à une activité commerciale. Toutes les données seront détruites au 31 décembre 2023 minuit.

Les Impératifs Cruciaux des Intelligences Artificielles Génératives :

Le texte est 70% écrit par un humain

L’avancée fulgurante des intelligences artificielles génératives suscite à la fois une véritable fascination et une profonde appréhension quant à son impact quotidien sur notre société. Alors que cette technologie promet des percées extraordinaires dans le domaine des sciences, il est impératif de reconnaître les risques inhérents lors de son déploiement massif, en particulier en ce qui concerne les biais et les stéréotypes. L’évolution rapide depuis 2023 et l’avènement d’OpenAI accentuent la nécessité d’explorer en profondeur les enjeux qui accompagnent ces avancées dans un monde de plus en plus dystopique, offrant des perspectives inquiétantes quant aux implications sociales, éthiques, et politiques, et nous poussent à nous interroger sur l’essor de ces intelligences artificielles difficilement contrôlables.

Allons-nous vers un Futur Déluge de Créativité ?

L’idée même que les IA génératives deviendront nos copilotes et assistants dans un futur extrêmement proche est indéniable. L’automatisation croissante visant à libérer les individus des tâches fastidieuses, telles que la programmation, pour se concentrer exclusivement sur des rôles d’hyper-supervision et de créativité, soulève toutefois d’importants périls. Le fondement des modèles génératifs reposant sur les données qui les alimentent, les risques de biais et de stéréotypes émergent lorsque ces données reflètent les préjugés profondément enracinés dans la société. Un modèle formé sur des données occidentales peut ainsi se révéler inadapté à des contextes culturels différents, soulignant l’impératif d’une approche globale et diversifiée dans la conception de ces modèles. Devons-nous absolument figer une petite fille dans le rôle de maîtresse d’école et un garçon en tant que PDG d’une entreprise ? Absorber l’ensemble des données mondiales pose donc un réel défi de balancier culturel.

Conséquences Sociales et Éthiques en Perspective

La délégation de la création de contenu texte, audio, images, et vidéos aux IA génératives soulève des préoccupations éthiques majeures. On peut aisément imaginer une utilisation malveillante de ces technologies, avec des faux enregistrements, des deepfakes à des fins diffamatoires, compromettant ainsi la confiance et l’intégrité de la société. La capacité à altérer la vérité de manière convaincante pose des défis considérables pour la préservation de la démocratie. La menace croissante des deepfakes et de la désinformation sur les réseaux sociaux illustre parfaitement les dangers à une échelle sans précédent, créant un environnement propice à la manipulation mentale et mettant en lumière des contenus entièrement piratés qui ne servent qu’à promouvoir la désinformation et le chaos.

Lutte Contre une Menace Grandissante

Face à cette montée inquiétante des risques, il est impératif que les gouvernements, les entreprises, et la société agissent de manière proactive pour prendre des décisions rapides. Des réglementations strictes sur l’utilisation des IA génératives, combinées à des initiatives éducatives visant à sensibiliser le public, sont essentielles pour atténuer les dangers potentiels. Malgré l’émergence menaçante des deepfakes, la propagation de contenu falsifié crée un tel terrain propice à la manipulation qu’il sera difficile de mettre en place des solutions technologiques pour combattre certains courants de pensée extrémistes.

Préservons les Valeurs dans un Futur Génératif

Si le futur promet des avancées fascinantes, il est crucial de ne pas minimiser les risques inhérents à ces technologies. En tant que créateurs et utilisateurs, notre responsabilité est de guider leur développement de manière éthique, équilibrant l’innovation avec une vigilance constante. Il est donc impératif à nos yeux de préserver les valeurs fondamentales de notre société afin d’embrasser un futur génératif dans un monde de plus en plus numérique.